Que vaut le short et le top DNAmic de Skins ?

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Nous avons testé la toute nouvelle tenue DNAmic de SKINS. Composée d’un short cuissard et d’un maillot à manches courtes, cet ensemble compressif à pour objectif de reculer le seuil de fatigue musculaire et réduire les risques de blessures.

15203_010246830Fiche technique

  • Amélioration de la circulation de l’acide lactique
  • Réduction des vibrations contre les blessures et les courbatures
  • Compression de gradient dynamique
  • UV 50+ (car pensé par des australiens)
  • 90€ le short et 75€ le haut
  • Disponible dans une version féminine

Premières impressions

dnamic-men-s-superpose-half-tights 2Léger, ce bas m’a tout l’air d’une arme secrète. Il allie un short extrêmement extensible à un cuissard compressif conçu pour améliorer les performances. L’idée ? Pouvoir s’entraîner plus fort et plus longtemps dans le plus grand confort.

Même punition avec le haut qui veut assurer le soutien et la stabilité du torse, des épaules et des biceps. Ajoutons qu’il a l’air d’avoir la capacité de garder son porteur au sec grâce à son tissu conçu pour évacuer la transpiration.

En pratique

Habitué au look SKINS, très Men in Black, c’est avec plaisir que j’ai découvert la nouvelle gamme DNAmic et ses coloris. La tenue est belle et ça fait parti du plaisir ! J’ai profité des jours suivant l’Ecotrail 80km, où la fatigue musculaire était bien présente, pour vérifier les bienfaits de la compression SKINS. L’enfilage du haut (qui n’est pas évident, car pour être efficace il doit être bien ajusté) procure immédiatement une sensation de maintien musculaire. Le short semble moins compressif, mais il est agréable, léger et bien taillé. Confort semble être le maître mot de ces produits.

En détails

Dès les premières sorties sur les beaux sentiers côtiers bretons et leurs montagnes russes aux passages très techniques (roches, escaliers et alternance de sous-bois), la caractéristique compressive de la tenue est mise à contribution. Avec la répétition des descentes, le corps reste gainé et semble mieux « accepter » les chocs. Le haut maintient la cage thoracique « ouverte », me donnant l’impression de garder une meilleure position dans les ascensions et de mieux ventiler.

SKINS test DNAmic

Passé les premiers kilomètres, j’ai rapidement pu tester le confort de la tenue. Effectivement, le climat breton et les giboulées de mars m’ont permis de courir en zone humide (BZH) et donc de constater le séchage rapide du short. Les coutures sont douces, se font rapidement oublier et ne provoquent aucune irritations. La coupe étant vraiment ajustée, aucun pli ne vient gêner ou créer des zones d’inconfort.

SKINS test DNAmicHabitué à de longues sorties (environ 2 heures), j’ai regretté l’absence de rangement sur le tee-shirt, mais aussi de poches sur le devant du short. Seule une poche arrière est présente. Equipée d’une fermeture éclair on peut facilement y ranger ses clefs de voiture sans risquer de les égarer.

En définitive

J’ai découvert une tenue que j’utiliserais volontiers sur mes séances longues comme sur mes courses, là où le moindre détail pour faire reculer l’inconfort devient primordial. Je pense d’ailleurs la porter bientôt sur un marathon car la contention équilibrée du short est tout à fait adaptée aux efforts longs ! SKINS fait fort et efficace en terme de récupération d’après course, lorsque le tonus musculaire est moindre. Cette tenue m’a aussi parue ralentir l’apparition du sentiment de fatigue en participant au maintien musculaire de mon corps.

Crédit photo: Cécile L

L’histoire de SKINS

En 1996, un skieur australien avait une grande ambition : se sentir plus jeune de dix ans afin de pouvoir skier toute la journée, faire la fête toute la nuit et être prêt à recommencer le lendemain. Il est partit du constat qu’une amélioration de la circulation sanguine apporte plus d’oxygène aux muscles, les aide à travailler plus fort plus longtemps et à récupérer plus rapidement. Il a donc consulté la NASA et d’autres experts pour avoir confirmation de sa découverte majeure. Et il avait raison. Le bruit a ensuite couru qu’il existait de nouveaux produits, appelés SKINS, qui amélioraient l’endurance. Les athlètes professionnels ont été les premiers à les porter. Les sportifs amateurs s’y sont mis peu après. Aujourd’hui, les vêtements SKINS sont vendus dans 31 pays. La gamme comprend plus de 160 produits et plus de 100 000 articles sont fabriqués par mois.

TEST – Coup de fouet avec la tenue seconde peau DNAmic by SKINS

Christophe Le Boulanger

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